Lors Constantin dit ces propres paroles:
J'ai renverse le culte des idoles:
Sur les debris de leurs temples fumants
Au Dieu du Ciel j'ai prodigue l'encens.
Mais tous mes soins pour sa grandeur supreme
N'eurent jamais d'autre objet que moimeme;
Les saints autels n'etoient a mes regards
Qu'un marchepie du trone des Cesars.
L'ambition, la fureur, les delices
Etoient mes dieux, avoient mes sacrifices.
L'or des Chretiens, leurs intrigues, leur sang
Ont cimente ma fortune et mon rang.
The poem which contains these lines may be read with pleasure, but cannot be named with decency.